Miziki – Dobet Gnahoré, 2018

,


🎤🌍🕺🏽🎶🔌 La chanteuse ivoirienne Dobet Gnahoré, fille du maitre percussionniste Boni Gnahoré entame sa carrière dans son pays, avant d’être prise sous l’aile du label belge Contre-Jour, dirigé par Michel de Bock, avec lequel elle publiera quatre albums entre 2004 et 2014. Nous l’avions rencontrée en 2010 à Sainte-Lucie où elle avait été invitée au festival Jazz in the South par Yves Renard et Len Leonce (dans ses bagages à l'époque, le regretté Clive Govinden à la basse...). Elle nous avait durablement impressionnés, autant par son chant que par sa danse énergique et avait logiquement soulevé le public sur la plage de Laborie. En 2018, petite inflexion, elle passe chez Café de la Danse et publie Miziki, sous la production un peu plus électro de Nicolas Repac (qui avait produit Gagner l’Argent Français de Mamani Keita). Miziki, toujours très africain, est un album plus personnel de Dobet Gnahoré, où le downtempo, souvent lancinant, a la part belle, mais où la danse sait aussi éclater là où on ne l’attend pas. A ses côtés, on retrouve Colin Laroche de Féline, fidèle depuis les années Ano Neko, il y a plus de vingt ans. Lansine Kouyaté tient le balafon, et c’est Damian Nueva qui est à la contrebasse, assisté de Patrick Goraguer à la batterie.




Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut